Recrutement : Podeliha croit en l’alternance

Publié le 11 avril 2023

L’alternance est un axe fort de la politique de recrutement de Podeliha. Près d’une dizaine de postes sont à pourvoir chaque année pour intégrer l’entreprise et mener à bien des missions valorisantes. Autant d’opportunités pour tous les profils et dans un large panel de métiers.

17 alternants en 2023

Premier bailleur social des Pays de la Loire, Podeliha est engagée avec les collectivités locales au travers d’une convention d’utilité sociale (CUS), et elle met en application cette philosophie jusque dans sa politique de recrutement. Les jeunes collaborateurs en alternance représentent près de 5 % de ses effectifs. En 2023 ils sont 17 dans l’entreprise, répartis dans différents services. Les profils ? Des assistants comptables, des chargés de marketing, d’opérations ou de commercialisation… mais aussi des agents polyvalents ou encore des jardiniers. « Nos alternants vont du CAP au diplôme d’ingénieur » résume Camille Gaillard, chargée de recrutement chez Podeliha. « Notre groupe a un rôle social par essence, l’alternance est donc une volonté forte de notre direction, avec l’idée de confier des missions enrichissantes aux étudiants qui nous rejoignent, et de leur transmettre nos valeurs et savoir-faire. »

Un parcours d’intégration sur-mesure

Chaque année lors des entretiens annuels, la direction des ressources humaines sonde les différents managers sur leur souhait d’accueillir un(e) alternant(e) dans leur service. « On identifie le besoin et la capacité du service à intégrer un alternant, précise Camille Gaillard. Au besoin, on peut former les encadrants au rôle de tuteur via notre opérateur de compétences (OPCO). Mais nous avons plusieurs collaborateurs qui ont eux-mêmes été formés en alternance, ils ont donc une sensibilité plus forte à accompagner des jeunes et à leur donner leur chance. »

Chez Podeliha, un alternant n’est pas un collaborateur comme un autre : il fait l’objet d’un parcours d’intégration spécifique. « Le Directeur Général et la Directrice des Ressources Humaines sont présents pour leur exposer leurs droits et devoirs, ce que l’entreprise attend d’eux. C’est aussi l’occasion de les faire se rencontrer, car ils intègrent ensuite différents services répartis sur plusieurs sites, explique Camille Gaillard. Par la suite, nous mettons en place un suivi régulier avec l’organisme de formation et nos managers, nous sommes tout particulièrement à l’écoute de leurs besoins. »

Des profils jeunes ou en reconversion professionnelle

Les attentes de Podeliha à l’égard des alternants ? En marge du dossier scolaire, elles esquissent les savoir-être dont ces futurs collaborateurs devront faire preuve pour porter une image qualitative du bailleur social : « La motivation, l’envie d’apprendre, la capacité à s’intégrer dans une équipe, liste la chargée de recrutement de l’entreprise. Un alternant dans un service, c’est aussi l’occasion de bousculer nos process grâce à un regard neuf, confronté dans sa formation à de nouvelles approches. » Pas de profil type néanmoins pour postuler à une offre d’alternance de Podeliha. « Il peut aussi bien s’agir d’un jeune que d’une personne possédant déjà une première expérience et souhaitant changer de voie » poursuit Camille Gaillard.

Le projet professionnel, la clé de voûte

Le recrutement pour les alternants de la rentrée 2023 débute dès le mois d’avril avec la publication des annonces sur le site internet de Podeliha et auprès des établissements partenaires (ESPL, ENI, CCI, LP Wresinski, etc.). Avec sa notoriété à l’échelle régionale, sa dimension de grande entreprise (430 collaborateurs) et ses services à taille humaine, Podeliha attire les étudiants en recherche d’une alternance. Les offres rencontrent un succès certain qui nécessite un process structuré :

  • candidature avec CV et lettre de motivation ;
  • sélection de profils convoqués à un entretien en mai-juin ;
  • prise de décision avant l’été.

En entretien, l’attitude et la capacité des candidats à se présenter et interagir sont évidemment scrutées. « Ce qui va compter par-dessus tout, c’est leur réflexion sur ce qu’ils envisagent pour leur parcours futur, et l’adéquation entre leur projet professionnel et ce que nous pouvons proposer en termes de missions, confie Camille Gaillard. À terme, l’objectif est que l’alternant soit autonome sur son poste à l’issue de la formation. »

 

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